« Système et contre-systèmes. Les enjeux esthétiques et idéologiques d’une méthode de jeu », in numéro spécial Stanislavski/Tchekhov, sous la dir. de M.-C. Autant-Mathieu Alternatives théâtrales, n°87, Bruxelles, 2005, pp. 29-33, 2 ill. (actes de colloque)
Catégorie : Publications
Principales publications de Marie-Christine Autant-Mathieu sur le théâtre russe et soviétique : ouvrages personnels et collectifs, direction de numéros spéciaux de revues, chapitres d’ouvrages, études et articles parus dans des revues avec comités de lecture, parutions dans des revues nationales avec comité de lecture, ou résultant de colloques nationaux.
« La fin du vieux Théâtre d’Art », in Le Théâtre d’Art de Moscou. Ramifications, voyages, sous la dir. de M.-C. Autant-Mathieu, Paris, CNRS Editions, coll. Arts du spectacle/ Spectacles, histoire, société, 2005, pp. 205-214, 6 ill.
« Le Système de Stanislavski. Avatars d’une théorie du jeu », in De la littérature russe. Mélanges offerts à Michel Aucouturier, Paris, Institut d’études slaves, 2005, pp. 388-399.
« Ecrire la mise en scène », in Théâtre Aujourd’hui n°10, L’Ere de la mise en scène, Paris, CNDP, 2005, pp. 38-47, 6 ill.
« Constantin Stanislavski répète Le Tartuffe », in Théâtre Aujourd’hui n°10, L’Ere de la mise en scène, Paris, CNDP, 2005, pp. 65-71, 3 ill.
« Le critique de théâtre, relais du censeur ? », in La critique, le critique, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2005, pp. 203-213 (actes de colloque)
Présentation du rôle du Théâtre d’Art de Moscou dans les années 1910-1930 comme centre d’un réseau fédérateur de compagnies et de studios internationaux de théâtre, unis par un idéal éthique et esthétique.
« Ecrire pour le théâtre russe aujourd’hui », in La Revue russe, n°26, 2005, pp. 35-52, 5 ill. (acte de colloque)

L’objectif de cet ouvrage est de présenter l’œuvre dramatique de Boulgakov en analysant sa genèse et ses variantes, de reconstituer le parcours théâtral complexe d’un écrivain frappé d’ostracisme, mais qui a jusqu’au bout allié prolixité et polyvalence de l’écriture.
C’est bien parce que « les manuscrits ne brûlent pas » que ce livre a pu être écrit : le plaisir est grand d’avoir accès aujourd’hui à des textes longuement interdits et que l’on a retrouvés accompagnés de documents très peu artistiques : comptes rendus de mouchards de la Guépéou, rapports des membres du Politburo et des censeurs du Parti.
En Boulgakov coule le sang d’un écrivain doublé d’un homme de théâtre. Classique littérature incontesté, il a sa place, aussi, dans l’histoire de l’écriture et de l’art dramatique russes.
► Le théâtre de Mikhaïl Boulgakov
de Marie-Christine Autant-Mathieu